Arts graphiques

DIEU LE PÈRE ET LES CHÉRUBINS

Federico ZUCCARO (1529-1566)

Fin XVIe - début XVIIe

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Federico Zuccaro "Dieu le père et les chérubins", dessin à l'encre et au lavis sur papier

Dessin à l'encre et au lavis sur papier

873-2-110

Legs de Silguy, 1864

873-2-110

Federico Zuccaro qui fut l’un des plus grands artistes de la Ville éternelle au tournant du XVIe siècle, donne dans son Dieu le Père et les chérubins, étude pour la cathédrale de Florence, la mesure de son talent de dessinateur. Artiste de la famille Farnèse pour laquelle il achève notamment la décoration du palais de Caprarola, il prend également la suite de son frère Taddeo à la Sala Reggia du Vatican. Voyageur infatigable, actif en Italie comme en Angleterre, où il se rend via la Lorraine et les Pays-Bas, l’artiste s’affirme comme un excellent décorateur et un grand portraitiste. Après avoir travaillé à Florence, Rome et Venise, il répond en 1585 à l’invitation du roi d’Espagne Philippe II, où il réalise jusqu’en 1588 la plupart de ses grands chefs-d’œuvre. De retour à Rome, il mène une importante activité de théoricien auprès de l’Académie de Saint-Luc, dont il est élu Prince en 1593.

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DIEU LE PÈRE ET LES CHÉRUBINS

Federico ZUCCARO (1529-1566)

Fin XVIe - début XVIIe

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Federico Zuccaro "Dieu le père et les chérubins", dessin à l'encre et au lavis sur papier

Dessin à l'encre et au lavis sur papier

873-2-110

Legs de Silguy, 1864

873-2-110

Federico Zuccaro qui fut l’un des plus grands artistes de la Ville éternelle au tournant du XVIe siècle, donne dans son Dieu le Père et les chérubins, étude pour la cathédrale de Florence, la mesure de son talent de dessinateur. Artiste de la famille Farnèse pour laquelle il achève notamment la décoration du palais de Caprarola, il prend également la suite de son frère Taddeo à la Sala Reggia du Vatican. Voyageur infatigable, actif en Italie comme en Angleterre, où il se rend via la Lorraine et les Pays-Bas, l’artiste s’affirme comme un excellent décorateur et un grand portraitiste. Après avoir travaillé à Florence, Rome et Venise, il répond en 1585 à l’invitation du roi d’Espagne Philippe II, où il réalise jusqu’en 1588 la plupart de ses grands chefs-d’œuvre. De retour à Rome, il mène une importante activité de théoricien auprès de l’Académie de Saint-Luc, dont il est élu Prince en 1593.

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