École française des 17e et 18e siècles

L'ADORATION DES MAGES

Nicolas DE PLATTEMONTAGNE (1631-1706)

2ème moitié du XVIIe siècle

Agrandir l'image jpg 166Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Nicolas de Plattemontagne (1631-1706) L'Adoration des mages, huile sur toile, 81,8 x 65,2 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

873-1-547

Legs de Silguy, 1864

H. 81,8 cm - L. 65,2 cm

Jusqu’en 2008, cette œuvre demeurait dans les limbes de l’anonymat. La venue au musée des  conservateurs et historiens de l’art, Michel Laclotte et Eric Pagliano, a permis d’attribuer cette Adoration des mages au peintre français du XVIIe siècle, Nicolas de Plattemontagne. L’exposition À l’école de Philippe de Champaigne qui a eu lieu au musée d’Evreux en 2007 a sans doute contribué à l’émergence de cette intuition. Plusieurs études préparatoires de ce tableau sont depuis passées en vente publique.
Le nettoyage et l’allègement du vernis ont redonné à cette œuvre toute son ampleur et on peut désormais l’exposer parmi les collections françaises du XVIIe siècle, assez rares au musée.

École française des 17e et 18e siècles

L'ADORATION DES MAGES

Nicolas DE PLATTEMONTAGNE (1631-1706)

2ème moitié du XVIIe siècle

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Nicolas de Plattemontagne (1631-1706) L'Adoration des mages, huile sur toile, 81,8 x 65,2 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

873-1-547

Legs de Silguy, 1864

H. 81,8 cm - L. 65,2 cm

Jusqu’en 2008, cette œuvre demeurait dans les limbes de l’anonymat. La venue au musée des  conservateurs et historiens de l’art, Michel Laclotte et Eric Pagliano, a permis d’attribuer cette Adoration des mages au peintre français du XVIIe siècle, Nicolas de Plattemontagne. L’exposition À l’école de Philippe de Champaigne qui a eu lieu au musée d’Evreux en 2007 a sans doute contribué à l’émergence de cette intuition. Plusieurs études préparatoires de ce tableau sont depuis passées en vente publique.
Le nettoyage et l’allègement du vernis ont redonné à cette œuvre toute son ampleur et on peut désormais l’exposer parmi les collections françaises du XVIIe siècle, assez rares au musée.

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