Peintures d'inspiration bretonne

RETOUR DU PARDON DE SAINTE-ANNE-LA-PALUD

Louis-Jean-Noël Duveau (1818-1867)

1859

Agrandir l'image jpg 195Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Louis Duveau ((1818-1867) Retour du pardon de Sainte-Anne-la-Palud, 1859, huile sur toile, 172,5 x 345 cm © musée des beaux-arts de Quimper

huile sur toile

55-119

Achat par la Ville de Quimper vers 1899-1900

H. 172,5 cm ; L. 345 cm

Le pardon de Sainte-Anne-la-Palud est incontestablement le pardon le plus populaire et le plus coloré de la Cornouaille par la somptuosité des costumes, et sans doute le plus ancien de Bretagne. Il fut aussi l'un des premiers pardons représentés au début des années 1860. Par la suite, il inspira Rivière, Méheut et Cottet.

Les pèlerins reviennent en bateau à Douarnenez en traversant la baie, de retour du grand pardon de Sainte-Anne-la-Palud que l'on aperçoit à droite au pied du Menez Hom. Chacun ramène des souvenirs de la fête : fleurs et bouquets, images pieuses et rubans. La fête chrétienne une fois achevée laissait place à la fête profane qui voyait se multiplier danses, chants, luttes et badinage amoureux. La joie et la griserie se lisent sur les visages rosis des pèlerins. Duveau propose une toile chatoyante et heureuse où dominent les roses et les bleus. Exposé au Salon de 1859, le tableau fut considéré comme l'un des envois les plus remarquables de Duveau, salué pour le pittoresque de ses sujets. L'artiste fut l'un des premiers à exposer des scènes bretonnes dans les Salons parisiens.

Peintures d'inspiration bretonne

RETOUR DU PARDON DE SAINTE-ANNE-LA-PALUD

Louis-Jean-Noël Duveau (1818-1867)

1859

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Louis Duveau ((1818-1867) Retour du pardon de Sainte-Anne-la-Palud, 1859, huile sur toile, 172,5 x 345 cm © musée des beaux-arts de Quimper

huile sur toile

55-119

Achat par la Ville de Quimper vers 1899-1900

H. 172,5 cm ; L. 345 cm

Le pardon de Sainte-Anne-la-Palud est incontestablement le pardon le plus populaire et le plus coloré de la Cornouaille par la somptuosité des costumes, et sans doute le plus ancien de Bretagne. Il fut aussi l'un des premiers pardons représentés au début des années 1860. Par la suite, il inspira Rivière, Méheut et Cottet.

Les pèlerins reviennent en bateau à Douarnenez en traversant la baie, de retour du grand pardon de Sainte-Anne-la-Palud que l'on aperçoit à droite au pied du Menez Hom. Chacun ramène des souvenirs de la fête : fleurs et bouquets, images pieuses et rubans. La fête chrétienne une fois achevée laissait place à la fête profane qui voyait se multiplier danses, chants, luttes et badinage amoureux. La joie et la griserie se lisent sur les visages rosis des pèlerins. Duveau propose une toile chatoyante et heureuse où dominent les roses et les bleus. Exposé au Salon de 1859, le tableau fut considéré comme l'un des envois les plus remarquables de Duveau, salué pour le pittoresque de ses sujets. L'artiste fut l'un des premiers à exposer des scènes bretonnes dans les Salons parisiens.

Clin d'oeil : l'oeuvre incarnée

Lors de l'événement participatif "Le musée recopié" de l'Ecole Parallèle Imaginaire, en mai 2018, les copistes ont dessiné l'oeuvre de leur choix.

Informations annexes au site