Arts graphiques

LE DÉFILÉ D'EL KANTARA

Georges Clairin (1843-1919)

Fin XIXe

Agrandir l'image jpg 1,73Mo (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Georges Clairin (1843-1919) "Le Défilé d'El-Kantara", fin du 19e, début du 20e siècle - Aquarelle sur papier, 51,5 x 75 cm - Musée des beaux-arts de Quimper

Aquarelle sur papier

36-1-186

Legs Corentin-Guyho, 1936

H. 75,5 cm - L. 94,3 cm

Un des premiers découvreurs de l’Espagne, puis du Maghreb, Georges Clairin s’est rapidement fait une spécialité de sujets orientalistes. Cette aquarelle décrit un défilé célèbre situé près de la petite ville d’El Kantara en Algérie. Si ce n’est la petite troupe d’hommes vêtus de burnous, rien ne suggère ici un exotisme de fantaisie ou de complaisance. Au contraire, ce paysage étrange, avec ces troncs de cèdres foudroyés ou desséchés, instille une vague inquiétude qui n’est pas sans rappeler les aquarelles sophistiquées d’un Gustave Doré. Cependant, les œuvres de ce dernier décrivent l’Ecosse !

Arts graphiques

LE DÉFILÉ D'EL KANTARA

Georges Clairin (1843-1919)

Fin XIXe

Agrandir l'image jpg 1,73Mo (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Georges Clairin (1843-1919) "Le Défilé d'El-Kantara", fin du 19e, début du 20e siècle - Aquarelle sur papier, 51,5 x 75 cm - Musée des beaux-arts de Quimper

Aquarelle sur papier

36-1-186

Legs Corentin-Guyho, 1936

H. 75,5 cm - L. 94,3 cm

Un des premiers découvreurs de l’Espagne, puis du Maghreb, Georges Clairin s’est rapidement fait une spécialité de sujets orientalistes. Cette aquarelle décrit un défilé célèbre situé près de la petite ville d’El Kantara en Algérie. Si ce n’est la petite troupe d’hommes vêtus de burnous, rien ne suggère ici un exotisme de fantaisie ou de complaisance. Au contraire, ce paysage étrange, avec ces troncs de cèdres foudroyés ou desséchés, instille une vague inquiétude qui n’est pas sans rappeler les aquarelles sophistiquées d’un Gustave Doré. Cependant, les œuvres de ce dernier décrivent l’Ecosse !

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