École de Pont-Aven

NATURE MORTE : PICHET ET OIGNONS

Meijer DE HAAN (1852-1895)

Vers 1890

Agrandir l'image jpg 161Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Meijer de Haan (1852-1895) Nature morte : pichet et oignons, vers 1890, huile sur toile marouflée sur bois, 42 x 39,7 x 2,4 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile marouflée sur bois

D. 60-2-1

Dépôt du musée d'Orsay en 1960

H. 42 cm - L. 39,7 cm - P. 2,4 cm

En octobre 1889, De Haan et Gauguin s’installent à la Buvette de la Plage, l’auberge tenue par Marie Henry.  À cette époque, Gauguin est sans ressources et De Haan avance alors l’argent de la pension, ne voulant pas se priver de la présence de celui qu’il considère comme un Maître. Les peintres, privés d’atelier, ont trouvé refuge dans la salle à manger de l’auberge et en entreprennent la décoration. L'idée de ce décor et la technique de la fresque témoignent de l’admiration des deux peintres pour l’art de Pierre Puvis de Chavannes. Toutes les parois de la salle à manger sont progressivement recouvertes de peintures. Cette toile appartient à une série de natures mortes que les deux peintres réalisent durant ces dernières semaines de 1889 d’après les mêmes pots, pommes et oignons. Elle était collée sur la porte du passe-plat.

École de Pont-Aven

NATURE MORTE : PICHET ET OIGNONS

Meijer DE HAAN (1852-1895)

Vers 1890

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Meijer de Haan (1852-1895) Nature morte : pichet et oignons, vers 1890, huile sur toile marouflée sur bois, 42 x 39,7 x 2,4 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile marouflée sur bois

D. 60-2-1

Dépôt du musée d'Orsay en 1960

H. 42 cm - L. 39,7 cm - P. 2,4 cm

En octobre 1889, De Haan et Gauguin s’installent à la Buvette de la Plage, l’auberge tenue par Marie Henry.  À cette époque, Gauguin est sans ressources et De Haan avance alors l’argent de la pension, ne voulant pas se priver de la présence de celui qu’il considère comme un Maître. Les peintres, privés d’atelier, ont trouvé refuge dans la salle à manger de l’auberge et en entreprennent la décoration. L'idée de ce décor et la technique de la fresque témoignent de l’admiration des deux peintres pour l’art de Pierre Puvis de Chavannes. Toutes les parois de la salle à manger sont progressivement recouvertes de peintures. Cette toile appartient à une série de natures mortes que les deux peintres réalisent durant ces dernières semaines de 1889 d’après les mêmes pots, pommes et oignons. Elle était collée sur la porte du passe-plat.

En vidéo : une histoire de peintres au Pouldu

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