École française des 17e et 18e siècles

L'ENTRÉE DU CHRIST À JERUSALEM

François VERDIER (1651-1730)

Fin XVIIe siècle

Agrandir l'image jpg 150Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
François Verdier (1651-1730) L'Entrée du Christ à Jérusalem, fin XVIIe, huile sur toile, 91 x 149,5 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

873-1-752

Legs de Silguy, 1864

H. 91 cm - L. 149,5 cm

Le musée conserve peu d’informations sur les deux œuvres de Verdier issues du legs de Silguy, L'Entrée du Christ à Jérusalem et La Lapidation  de Saint Pierre. Le collectionneur à l’origine de la fondation du musée détenait peu d’œuvres du XVIIe siècle français qui,  au moment de la constitution de sa collection, étaient devenues financièrement inabordables. On reconnaît toutefois  le goût de Jean-Marie de Silguy dans le caractère inachevé et esquissé de ces tableaux.

Il semblait donc opportun de les restaurer. En 2014, ils ont subi un traitement fondamental au niveau de la couche picturale (décrassage, suppression des anciennes couches de vernis, des anciens repeints et mastics, masticage, réintégration des lacunes, atténuation des usures, réintégration des lacunes, atténuation des usures, vernissage) ainsi que sur le support (reprise du rentoilage).

Ils complètent aujourd’hui  l’ensemble constitué par les œuvres de Nicolas Loir, Thomas Blanchet, Jean Tassel ou encore Pierre-Antoine Patel. S’agit-il d’esquisses pour une grande composition ou pour une tapisserie ? La question reste pour l’instant en suspens.   

     

École française des 17e et 18e siècles

L'ENTRÉE DU CHRIST À JERUSALEM

François VERDIER (1651-1730)

Fin XVIIe siècle

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François Verdier (1651-1730) L'Entrée du Christ à Jérusalem, fin XVIIe, huile sur toile, 91 x 149,5 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

873-1-752

Legs de Silguy, 1864

H. 91 cm - L. 149,5 cm

Le musée conserve peu d’informations sur les deux œuvres de Verdier issues du legs de Silguy, L'Entrée du Christ à Jérusalem et La Lapidation  de Saint Pierre. Le collectionneur à l’origine de la fondation du musée détenait peu d’œuvres du XVIIe siècle français qui,  au moment de la constitution de sa collection, étaient devenues financièrement inabordables. On reconnaît toutefois  le goût de Jean-Marie de Silguy dans le caractère inachevé et esquissé de ces tableaux.

Il semblait donc opportun de les restaurer. En 2014, ils ont subi un traitement fondamental au niveau de la couche picturale (décrassage, suppression des anciennes couches de vernis, des anciens repeints et mastics, masticage, réintégration des lacunes, atténuation des usures, réintégration des lacunes, atténuation des usures, vernissage) ainsi que sur le support (reprise du rentoilage).

Ils complètent aujourd’hui  l’ensemble constitué par les œuvres de Nicolas Loir, Thomas Blanchet, Jean Tassel ou encore Pierre-Antoine Patel. S’agit-il d’esquisses pour une grande composition ou pour une tapisserie ? La question reste pour l’instant en suspens.   

     

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