Max Jacob et ses amis

Deux Bretonnes

Max Jacob (1876-1944)

Vers 1930

Agrandir l'image jpg 318Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Max Jacob (1876-1944), "Deux Bretonnes", vers 1930 - Gouache sur papier - Musée des beaux-arts de Quimper © Bernard Galéron

Gouache sur papier

2018-2-1

Don de Mécénat Bretagne en 2018

H. 32 cm ; L. 30 cm

« Pauvre petite peinture », « œuvrette », « gouaches financières », tels sont les mots utilisés par Max Jacob pour décrire sa production artistique, un Max Jacob tiraillé entre la peinture et l’écriture qui, malgré des conditions de vie difficiles, n’a jamais abandonné l’art qui a souvent été son seul moyen de subsister. Cela explique d’ailleurs en partie la dispersion de ses gouaches, vendues ou données, contrairement à ses écrits qu’il a pu rassembler et qui constituent aujourd’hui le fonds Max Jacob de la Médiathèque des Ursulines à Quimper.
Sa peinture a longtemps été déconsidérée, peut-être parce que le poète l’évoquait souvent comme étant une production alimentaire. André Cariou, dans un ouvrage paru récemment, Max Jacob le peintre inavoué, s’il ne réhabilite pas entièrement le Max Jacob peintre, démontre toutefois que sa création picturale n’est pas à négliger et doit être considérée comme l’une des composantes de sa vie de poète.

Max Jacob et ses amis

Deux Bretonnes

Max Jacob (1876-1944)

Vers 1930

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Max Jacob (1876-1944), "Deux Bretonnes", vers 1930 - Gouache sur papier - Musée des beaux-arts de Quimper © Bernard Galéron

Gouache sur papier

2018-2-1

Don de Mécénat Bretagne en 2018

H. 32 cm ; L. 30 cm

« Pauvre petite peinture », « œuvrette », « gouaches financières », tels sont les mots utilisés par Max Jacob pour décrire sa production artistique, un Max Jacob tiraillé entre la peinture et l’écriture qui, malgré des conditions de vie difficiles, n’a jamais abandonné l’art qui a souvent été son seul moyen de subsister. Cela explique d’ailleurs en partie la dispersion de ses gouaches, vendues ou données, contrairement à ses écrits qu’il a pu rassembler et qui constituent aujourd’hui le fonds Max Jacob de la Médiathèque des Ursulines à Quimper.
Sa peinture a longtemps été déconsidérée, peut-être parce que le poète l’évoquait souvent comme étant une production alimentaire. André Cariou, dans un ouvrage paru récemment, Max Jacob le peintre inavoué, s’il ne réhabilite pas entièrement le Max Jacob peintre, démontre toutefois que sa création picturale n’est pas à négliger et doit être considérée comme l’une des composantes de sa vie de poète.

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