Max Jacob et ses amis

L'enfant de Marguerite

Max Jacob (1876-1944)

22 juin 1921

Agrandir l'image jpg 451Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Max Jacob (1876-1944), "L'Enfant de Marguerite", 22 juin 1921, gouache sur papier ©photo B. Galeron

Gouache sur papier

2008-3-1

Don de M. Lucien Marchal en 2018

H. 37 cm - L. 29,5 cm


Le caractère intime de cette oeuvre paraît évident. En effet, Max Jacob n’a pas exécuté ce dessin dans l’espoir de le vendre mais bien pour l’offrir à sa belle-soeur, Marguerite, femme de Jacques son frère dont il était très proche.
Deux jours après le lui avoir dédicacé, il part pour sa première retraite à Saint-Benoît-sur-Loire.
Marguerite le donne, au décès de Jacques, à la fille d’une cousine germaine, Mme Marchal qui le lègue à son fils, Lucien, actuel donateur au musée.
Cette gouache présente toutes les caractéristiques de la manière de Max Jacob. Rapidement brossé comme en témoignent les coups de pinceaux de l’arrière-plan, l’enfant est parfaitement croqué dans une posture de prime abord instable.
Qui est cet enfant ? La tradition familiale évoque l’image projetée d’un bébé que Marguerite n’a jamais pu avoir, source de douleur et de solitude. Le regard triste de l’enfant pourrait aller dans le sens de cette interprétation.

 

 

Max Jacob et ses amis

L'enfant de Marguerite

Max Jacob (1876-1944)

22 juin 1921

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Max Jacob (1876-1944), "L'Enfant de Marguerite", 22 juin 1921, gouache sur papier ©photo B. Galeron

Gouache sur papier

2008-3-1

Don de M. Lucien Marchal en 2018

H. 37 cm - L. 29,5 cm


Le caractère intime de cette oeuvre paraît évident. En effet, Max Jacob n’a pas exécuté ce dessin dans l’espoir de le vendre mais bien pour l’offrir à sa belle-soeur, Marguerite, femme de Jacques son frère dont il était très proche.
Deux jours après le lui avoir dédicacé, il part pour sa première retraite à Saint-Benoît-sur-Loire.
Marguerite le donne, au décès de Jacques, à la fille d’une cousine germaine, Mme Marchal qui le lègue à son fils, Lucien, actuel donateur au musée.
Cette gouache présente toutes les caractéristiques de la manière de Max Jacob. Rapidement brossé comme en témoignent les coups de pinceaux de l’arrière-plan, l’enfant est parfaitement croqué dans une posture de prime abord instable.
Qui est cet enfant ? La tradition familiale évoque l’image projetée d’un bébé que Marguerite n’a jamais pu avoir, source de douleur et de solitude. Le regard triste de l’enfant pourrait aller dans le sens de cette interprétation.

 

 

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