Jeune Chasseresse au repos
1830
Marbre
2001-9
Don de Monique Lavallée en 2001
H. 55 cm - L. 122 cm - P. 80 cm
Cette sculpture de marbre blanc, datée de 1830, et présentée au Salon de 1833, appartient à la période la plus fructueuse de la carrière de James Pradier. Il s'agit sans doute d'une variante de la Jeune Chasseresse en plâtre exposée par l'artiste au salon de 1824 (non localisée). Le sculpteur y fait preuve d'une très grande virtuosité, en proposant la vision toute de grâce et de délicatesse d'une jeune nymphe à demi allongée. Nue, elle repose sur une dépouille de lion, sur le flanc, une jambe repliée, et s'appuie sur son coude droit, afin de contempler un lapin qu'elle tient de sa main gauche. Si le sujet précis de cette représentation demeure énigmatique, l'adresse et l'habilité extrême du sculpteur sont remarquables. D'une très grande qualité d'exécution, cette jeune chasseresse séduit pas la délicatesse du ciseau et la perfection de l'exécution sculpturale
Jeune Chasseresse au repos
1830
Marbre
2001-9
Don de Monique Lavallée en 2001
H. 55 cm - L. 122 cm - P. 80 cm
Cette sculpture de marbre blanc, datée de 1830, et présentée au Salon de 1833, appartient à la période la plus fructueuse de la carrière de James Pradier. Il s'agit sans doute d'une variante de la Jeune Chasseresse en plâtre exposée par l'artiste au salon de 1824 (non localisée). Le sculpteur y fait preuve d'une très grande virtuosité, en proposant la vision toute de grâce et de délicatesse d'une jeune nymphe à demi allongée. Nue, elle repose sur une dépouille de lion, sur le flanc, une jambe repliée, et s'appuie sur son coude droit, afin de contempler un lapin qu'elle tient de sa main gauche. Si le sujet précis de cette représentation demeure énigmatique, l'adresse et l'habilité extrême du sculpteur sont remarquables. D'une très grande qualité d'exécution, cette jeune chasseresse séduit pas la délicatesse du ciseau et la perfection de l'exécution sculpturale
Clin d'oeil : l'oeuvre incarnée
Lors de l'événement participatif "Le musée recopié" de l'Ecole Parallèle Imaginaire, en mai 2018, les copistes ont dessiné l'oeuvre de leur choix puis avec d'autres copistes ou visiteurs ont incarné celle-ci de manière créative.