L’île de Bréhat a abrité une importante colonie de peintres à la fin du XIXe siècle. Par une coïncidence fâcheuse, plusieurs de ces bons artistes portent des patronymes gagnés par une célébrité qui les a relégués dans l’ombre. Le cas le plus frappant demeure celui...
Ami de la famille et Quimpérois comme Pierre de Belay, Max Jacob occupe une place de choix dans la vie du peintre. Les nombreux portraits du génial poète racontent l’amitié féconde qui les unit et la fascination qu’exerce ce dernier sur le jeune homme. C’est par son entremise qu’il découvre le bouillonnement culturel que connaît Paris au début du 20ème siècle.
« Etude pour le portrait de Max Jacob au fauteuil » (1933)