C'est en 1970 que l'Allemand francophile Norbert Nüssle, qui partagea ses études entre Heidelberg, Lille et Paris, découvre la Bretagne et rencontre le peintre Dilasser avec qui il se lie d'amitié. Huit ans plus tard, il installe son atelier dans une ferme...
Ami de la famille et Quimpérois comme Pierre de Belay, Max Jacob occupe une place de choix dans la vie du peintre. Les nombreux portraits du génial poète racontent l’amitié féconde qui les unit et la fascination qu’exerce ce dernier sur le jeune homme. C’est par son entremise qu’il découvre le bouillonnement culturel que connaît Paris au début du 20ème siècle.
« Etude pour le portrait de Max Jacob au fauteuil » (1933)