Grebber fait toute sa carrière à Haarlem, où il est reçu maître par la guilde en 1632. Ouvert à de multiples influences (flamandes avec Rubens et Jordaens, maniéristes avec Cornelisz, utrechtoises avec les caravagesques), c'est un actif et ambitieux peintre...
Ami de la famille et Quimpérois comme Pierre de Belay, Max Jacob occupe une place de choix dans la vie du peintre. Les nombreux portraits du génial poète racontent l’amitié féconde qui les unit et la fascination qu’exerce ce dernier sur le jeune homme. C’est par son entremise qu’il découvre le bouillonnement culturel que connaît Paris au début du 20ème siècle.
« Etude pour le portrait de Max Jacob au fauteuil » (1933)