École de Pont-Aven

PORTRAIT D'AMÉDÉE CALMEL

George-Daniel de MONFREID (1856-1929)

1893

Agrandir l'image jpg 106Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Georges-Daniel de Monfreid (1856-1929) Portrait d'Amédée Calmel, 1893, huile sur toile, 73 x 54,5 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

81-4-1

Achat en 1981 en vente publique

H. 73 cm - L. 54,5 cm

Monfreid reste avant tout connu aujourd’hui pour sa proximité et son amitié avec Gauguin. Collectionneur averti de l’œuvre de ce dernier, il est aussi un de ses premiers biographes. Fortuné, Monfreid n’a pas éprouvé le besoin de vivre de son art, ce qui, comme le prouve ce portrait, ne retire rien à la qualité de ses peintures. Le modèle, qui pose pour cette toile, appartient à la bourgeoisie aisée que fréquente le peintre dans le Sud-Est de la France. Amédée Calmel est aussi un amateur d’art proche de Gustave Fayet, autre grand collectionneur de Gauguin et ami de Monfreid.

Si la rutilance des couleurs, l’emploi en particulier d’un beau vermillon orangé, peut évoquer une certaine proximité avec Gauguin, en revanche, la technique demeure plus traditionnelle et évoque plutôt le milieu post-impressionniste.

École de Pont-Aven

PORTRAIT D'AMÉDÉE CALMEL

George-Daniel de MONFREID (1856-1929)

1893

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Georges-Daniel de Monfreid (1856-1929) Portrait d'Amédée Calmel, 1893, huile sur toile, 73 x 54,5 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

81-4-1

Achat en 1981 en vente publique

H. 73 cm - L. 54,5 cm

Monfreid reste avant tout connu aujourd’hui pour sa proximité et son amitié avec Gauguin. Collectionneur averti de l’œuvre de ce dernier, il est aussi un de ses premiers biographes. Fortuné, Monfreid n’a pas éprouvé le besoin de vivre de son art, ce qui, comme le prouve ce portrait, ne retire rien à la qualité de ses peintures. Le modèle, qui pose pour cette toile, appartient à la bourgeoisie aisée que fréquente le peintre dans le Sud-Est de la France. Amédée Calmel est aussi un amateur d’art proche de Gustave Fayet, autre grand collectionneur de Gauguin et ami de Monfreid.

Si la rutilance des couleurs, l’emploi en particulier d’un beau vermillon orangé, peut évoquer une certaine proximité avec Gauguin, en revanche, la technique demeure plus traditionnelle et évoque plutôt le milieu post-impressionniste.

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