École de Pont-Aven

LE VIADUC DE SAINT-BRIEUC

Maxime Maufra (1861-1918)

1892

Agrandir l'image jpg 187Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Maxime Maufra (1861-1918) Le Viaduc de Saint-Brieuc, 1892, eau-forte en noir sur papier, 29,3 x 35,4 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Eau-forte en noir sur papier

96-8-1

Don d'Yves Maufra, petit-fils du peintre en 1996

H. 29,3 cm - L. 35,4 cm

A l’instar de Bernard ou Gauguin, Maufra s’est essayé à la gravure et a su utiliser à merveille les ressources que lui offrait cette technique. Cette eau-forte, d’une grande finesse, est remarquablement construite par plans plus ou moins cernés et ombrés jusqu’au motif central du viaduc. Ce dessin est tout à fait remarquable en ce qu’il introduit le sujet du progrès industriel (ou son intrusion) dans un paysage naturel. Il est plaisant de noter que Maufra a été vivement impressionné dans sa jeunesse par l’œuvre de Turner montrant une locomotive lancée à pleine vitesse.

École de Pont-Aven

LE VIADUC DE SAINT-BRIEUC

Maxime Maufra (1861-1918)

1892

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Maxime Maufra (1861-1918) Le Viaduc de Saint-Brieuc, 1892, eau-forte en noir sur papier, 29,3 x 35,4 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Eau-forte en noir sur papier

96-8-1

Don d'Yves Maufra, petit-fils du peintre en 1996

H. 29,3 cm - L. 35,4 cm

A l’instar de Bernard ou Gauguin, Maufra s’est essayé à la gravure et a su utiliser à merveille les ressources que lui offrait cette technique. Cette eau-forte, d’une grande finesse, est remarquablement construite par plans plus ou moins cernés et ombrés jusqu’au motif central du viaduc. Ce dessin est tout à fait remarquable en ce qu’il introduit le sujet du progrès industriel (ou son intrusion) dans un paysage naturel. Il est plaisant de noter que Maufra a été vivement impressionné dans sa jeunesse par l’œuvre de Turner montrant une locomotive lancée à pleine vitesse.

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