École de Pont-Aven

LES TROIS FALAISES ; SAINT-JEAN-DU-DOIGT

Maxime MAUFRA (1861-1918)

1894

Agrandir l'image jpg 123Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Maxime Maufra (1861-1918) - Les Trois Falaises ; Saint-Jean-du-Doigt, huile sur toile, 60,4 x 72,5 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

98-2-1

Achat auprès d'un collectionneur privé en 1998 avec l'aide de l’Etat et de la Région Bretagne

H. 60,4 cm - L. 72,5 cm

Originaire de Nantes, Maufra commence à fréquenter les côtes bretonnes dans les années 1880. Il rencontre une première fois Gauguin, en 1890, à Pont-Aven et le retrouve quelques années plus tard à Paris en 1893. C’est l’occasion d’encouragements et de soutien réciproques entre ces deux artistes qui se respectent. Au printemps 1894, ils se fréquentent à nouveau en Bretagne au Pouldu. Puis Maufra part à la découverte du Trégor finistérien où il peint justement ce tableau.

Ces falaises sont célèbres, il s’agit de la pointe de Beg-ar-Fry, et masquent en partie la vaste baie de Saint-Michel-en-Grève que l’on devine au loin fermant la ligne d’horizon. Belle réussite du peintre, cette toile transmet la puissance des éléments grâce à une technique privilégiant de forts empâtements. Maufra n’ignore rien du synthétisme mais semble toutefois se démarquer clairement de son influence avec cette œuvre.

École de Pont-Aven

LES TROIS FALAISES ; SAINT-JEAN-DU-DOIGT

Maxime MAUFRA (1861-1918)

1894

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Maxime Maufra (1861-1918) - Les Trois Falaises ; Saint-Jean-du-Doigt, huile sur toile, 60,4 x 72,5 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

98-2-1

Achat auprès d'un collectionneur privé en 1998 avec l'aide de l’Etat et de la Région Bretagne

H. 60,4 cm - L. 72,5 cm

Originaire de Nantes, Maufra commence à fréquenter les côtes bretonnes dans les années 1880. Il rencontre une première fois Gauguin, en 1890, à Pont-Aven et le retrouve quelques années plus tard à Paris en 1893. C’est l’occasion d’encouragements et de soutien réciproques entre ces deux artistes qui se respectent. Au printemps 1894, ils se fréquentent à nouveau en Bretagne au Pouldu. Puis Maufra part à la découverte du Trégor finistérien où il peint justement ce tableau.

Ces falaises sont célèbres, il s’agit de la pointe de Beg-ar-Fry, et masquent en partie la vaste baie de Saint-Michel-en-Grève que l’on devine au loin fermant la ligne d’horizon. Belle réussite du peintre, cette toile transmet la puissance des éléments grâce à une technique privilégiant de forts empâtements. Maufra n’ignore rien du synthétisme mais semble toutefois se démarquer clairement de son influence avec cette œuvre.

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