École de Pont-Aven

TÊTE DE BRETON

Mogens Ballin (1871-1914)

1891-1892

Agrandir l'image jpg 77Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Mogens Ballin (1871-1914) Tête de Breton, 1891-1892, zincographie sur papier, 24,8 x 33 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Crayon sur papier

84-2-1

Achat en 1984 auprès de Joergen Bredholt, petit-fils de Ballin

H. 24,8 cm - L. 33 cm

Le Danois Mogens Ballin arrive à Paris en 1889, muni d’une recommandation de Mette, l’épouse danoise de Gauguin, qui lui a donné des cours de français.

Il rencontre le « maître » juste avant son départ pour Tahiti.

C’est Jan Verkade, dont il devient l’ami, qui l’introduit dans le cercle des Nabis et l’accompagne à Pont-Aven en 1891. Il y travaille avec Paul Sérusier qui contribue à développer son mysticisme inné.

Il découvre également Huelgoat et Le Pouldu puis en 1892, accompagne Verkade à Saint-Nolff dans le Morbihan. Il assiste à sa conversion au catholicisme et reçoit lui-même le baptême, en 1893, au couvent des Franciscains de Fiesole au cours d’un voyage en Italie.

Sa production artistique reste réduite car à la mort de sa femme, en 1907, il abandonne peu à peu la peinture.

 

Ballin laisse entrevoir un art étrange et grave, riche et fantastique.

Paul Sérusier

 

 

École de Pont-Aven

TÊTE DE BRETON

Mogens Ballin (1871-1914)

1891-1892

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Mogens Ballin (1871-1914) Tête de Breton, 1891-1892, zincographie sur papier, 24,8 x 33 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Crayon sur papier

84-2-1

Achat en 1984 auprès de Joergen Bredholt, petit-fils de Ballin

H. 24,8 cm - L. 33 cm

Le Danois Mogens Ballin arrive à Paris en 1889, muni d’une recommandation de Mette, l’épouse danoise de Gauguin, qui lui a donné des cours de français.

Il rencontre le « maître » juste avant son départ pour Tahiti.

C’est Jan Verkade, dont il devient l’ami, qui l’introduit dans le cercle des Nabis et l’accompagne à Pont-Aven en 1891. Il y travaille avec Paul Sérusier qui contribue à développer son mysticisme inné.

Il découvre également Huelgoat et Le Pouldu puis en 1892, accompagne Verkade à Saint-Nolff dans le Morbihan. Il assiste à sa conversion au catholicisme et reçoit lui-même le baptême, en 1893, au couvent des Franciscains de Fiesole au cours d’un voyage en Italie.

Sa production artistique reste réduite car à la mort de sa femme, en 1907, il abandonne peu à peu la peinture.

 

Ballin laisse entrevoir un art étrange et grave, riche et fantastique.

Paul Sérusier

 

 

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