École de Pont-Aven

VIEILLE BRETONNE

Paul SÉRUSIER (1864-1927)

Vers 1891-1893

Agrandir l'image jpg 180Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Paul Sérusier (1864-1927) Vieille Bretonne, vers 1891-1893, tempéra sur papier cartonné, 40,5 x 24,5 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Tempera sur papier cartonné

2017-1-1

Achat auprès de la galerie Doyen, Vannes, avec l’aide de l’association des Amis du musée

H. 40,5 cm - L. 24,5 cm

Grâce au soutien sans faille de l’association des Amis du musée, une œuvre puissante de Paul Sérusier a rejoint, en 2017, les collections de Quimper. On connaît le rôle central joué par Sérusier comme théoricien du mouvement nabi et bien sûr diffuseur du synthétisme prôné par Paul Gauguin. Datant de la période du Huelgoat (entre 1891 et 1893), il est évident que cette fascinante étude se ressent d’une certaine forme de proximité avec Gauguin. Simplification des plans, irréalisme des couleurs, tout concourt à envelopper cette œuvre d’une aura de mystère que renforce naturellement la présence obsédante de cette femme âgée portant l’habit de deuil. Ici, Sérusier compose une image violente, irriguée par un mysticisme entêtant et qui anticipe certaines tendances expressionnistes qui trouveront à s’épanouir en Europe du Nord quelques années plus tard.

École de Pont-Aven

VIEILLE BRETONNE

Paul SÉRUSIER (1864-1927)

Vers 1891-1893

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Paul Sérusier (1864-1927) Vieille Bretonne, vers 1891-1893, tempéra sur papier cartonné, 40,5 x 24,5 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Tempera sur papier cartonné

2017-1-1

Achat auprès de la galerie Doyen, Vannes, avec l’aide de l’association des Amis du musée

H. 40,5 cm - L. 24,5 cm

Grâce au soutien sans faille de l’association des Amis du musée, une œuvre puissante de Paul Sérusier a rejoint, en 2017, les collections de Quimper. On connaît le rôle central joué par Sérusier comme théoricien du mouvement nabi et bien sûr diffuseur du synthétisme prôné par Paul Gauguin. Datant de la période du Huelgoat (entre 1891 et 1893), il est évident que cette fascinante étude se ressent d’une certaine forme de proximité avec Gauguin. Simplification des plans, irréalisme des couleurs, tout concourt à envelopper cette œuvre d’une aura de mystère que renforce naturellement la présence obsédante de cette femme âgée portant l’habit de deuil. Ici, Sérusier compose une image violente, irriguée par un mysticisme entêtant et qui anticipe certaines tendances expressionnistes qui trouveront à s’épanouir en Europe du Nord quelques années plus tard.

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