École de Pont-Aven

DEUX FEMMES DE PROFIL DANS UN PAYSAGE

Roderic O'CONOR (1860-1940)

Agrandir l'image jpg 160Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Roderic O'Conor (1860-1940) Deux Femmes de profil dans un paysage, lithographie sur papier, 32,5 x 24,5 cm

Lithographie sur papier

73-8-1

Achat en 1973 dans le commerce de l’art

H. 32,5 cm - L. 24,5 cm

Alors qu’une trentaine d’eaux-fortes de Roderic O’Conor, initié à la gravure par Armand Seguin, ont été identifiées, cette œuvre est la seule lithographie connue de l’artiste. Souvenir de la rudesse des séjours au Pouldu, elle représente deux silhouettes de femmes affrontant le vent et ployant sous la violence des rafales. Les deux Bretonnes dégagent une aura de mystère. Dissimulées sous leurs larges capes, étirées et stylisées, elles deviennent des éléments du paysage, transformées en rochers dans un environnement à peine esquissé. O’Conor simplifie le dessin et joue sur la courbure et la vivacité des lignes pour établir un parallèle entre les deux personnages du premier plan et l’arbre tordu par les éléments déchaînés. La technique lithographique lui permet également de travailler sur les nuances de noirs et de blancs et de faire écho à sa pratique picturale aux traits dynamiques et larges zébrures de couleurs vives.

École de Pont-Aven

DEUX FEMMES DE PROFIL DANS UN PAYSAGE

Roderic O'CONOR (1860-1940)

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Roderic O'Conor (1860-1940) Deux Femmes de profil dans un paysage, lithographie sur papier, 32,5 x 24,5 cm

Lithographie sur papier

73-8-1

Achat en 1973 dans le commerce de l’art

H. 32,5 cm - L. 24,5 cm

Alors qu’une trentaine d’eaux-fortes de Roderic O’Conor, initié à la gravure par Armand Seguin, ont été identifiées, cette œuvre est la seule lithographie connue de l’artiste. Souvenir de la rudesse des séjours au Pouldu, elle représente deux silhouettes de femmes affrontant le vent et ployant sous la violence des rafales. Les deux Bretonnes dégagent une aura de mystère. Dissimulées sous leurs larges capes, étirées et stylisées, elles deviennent des éléments du paysage, transformées en rochers dans un environnement à peine esquissé. O’Conor simplifie le dessin et joue sur la courbure et la vivacité des lignes pour établir un parallèle entre les deux personnages du premier plan et l’arbre tordu par les éléments déchaînés. La technique lithographique lui permet également de travailler sur les nuances de noirs et de blancs et de faire écho à sa pratique picturale aux traits dynamiques et larges zébrures de couleurs vives.

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