École de Pont-Aven

NATURE MORTE AUX POMMES ET VERRE D'EAU

Wladyslaw SLEWINSKI (1854-1918)

Vers 1904

Agrandir l'image jpg 167Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Wladyslaw Slewinski (1854-1918) Nature morte aux pommes et verre d'eau, vers 1904, huile sur toile, 28 x 44,5 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

75-37-1

Achat en vente publique à Londres en 1975

H. 28 cm - L. 44,5 cm

Parmi les nombreux artistes étrangers qui gravitent autour de la personnalité de Gauguin, il convient de remarquer le nom de Slewinski. D’origine polonaise, ce dernier rejoint tardivement Paris en 1888 pour s’initier à la peinture. Il y rencontre fortuitement Gauguin qui l’éblouit autant par sa peinture que par son caractère. Dès lors, l’artiste partage sa vie entre la Bretagne et Paris, sans renoncer pour autant à de longs séjours en Pologne. L’influence de Gauguin et de l’Ecole de Pont-Aven en général se perçoit dans nombre de ses œuvres. Précisément, cette nature morte maintient vivaces, en plein début du XXe siècle, les théories du synthétisme elles-mêmes redevables du cloisonnisme, initié notamment par Emile Bernard. De fait, les cernes rigoureusement appliqués aux formes – pommes, verre, nappe ou table – affirment cette parenté totalement assimilée par Slewinski.

École de Pont-Aven

NATURE MORTE AUX POMMES ET VERRE D'EAU

Wladyslaw SLEWINSKI (1854-1918)

Vers 1904

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Wladyslaw Slewinski (1854-1918) Nature morte aux pommes et verre d'eau, vers 1904, huile sur toile, 28 x 44,5 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

75-37-1

Achat en vente publique à Londres en 1975

H. 28 cm - L. 44,5 cm

Parmi les nombreux artistes étrangers qui gravitent autour de la personnalité de Gauguin, il convient de remarquer le nom de Slewinski. D’origine polonaise, ce dernier rejoint tardivement Paris en 1888 pour s’initier à la peinture. Il y rencontre fortuitement Gauguin qui l’éblouit autant par sa peinture que par son caractère. Dès lors, l’artiste partage sa vie entre la Bretagne et Paris, sans renoncer pour autant à de longs séjours en Pologne. L’influence de Gauguin et de l’Ecole de Pont-Aven en général se perçoit dans nombre de ses œuvres. Précisément, cette nature morte maintient vivaces, en plein début du XXe siècle, les théories du synthétisme elles-mêmes redevables du cloisonnisme, initié notamment par Emile Bernard. De fait, les cernes rigoureusement appliqués aux formes – pommes, verre, nappe ou table – affirment cette parenté totalement assimilée par Slewinski.

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