Titre de la collection d’appartenance

FEMME ASSASSINÉE

Jean-Victor SCHNETZ (1787-1870)

Vers 1824

Agrandir l'image jpg 76Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Victor Schnetz (1787–1870) - Femme assassinée, vers 1824 - Huile sur toile, 104 x 86 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

74-4-1

Achat dans le commerce de l’art en 1974

H. 104,5 cm - L. 85,8 cm

Jean-Victor Schnetz se rend à Rome en 1817 et y retrouve Léopold Robert qu’il a rencontré en 1812 dans l’atelier de David. Est-ce sous l’influence de son complice qu’il se laisse happer par le pittoresque folklore des brigands ?  Ou comme nombre d’artistes séjournant dans la ville éternelle, s’est-il inspiré des œuvres de Bartomeleo Pinelli, très diffusées, qui reproduisent costumes et coutumes de l’Italie ? À tout le moins, dans cette œuvre exposée au Salon de 1824, Schnetz reprend l’archétype de la scène de genre italienne qui plaît tant aux amateurs européens. Cette figure féminine, si paisible dans la mort, laisse planer le doute sur les raisons de son décès. On ne saura jamais si c’est un brigand ou un mari jaloux qui a frappé cette femme, pleurée par cette vieille aux traits de diseuse de bonne aventure et bientôt par son fils accourant à l’arrière-plan.

Titre de la collection d’appartenance

FEMME ASSASSINÉE

Jean-Victor SCHNETZ (1787-1870)

Vers 1824

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Victor Schnetz (1787–1870) - Femme assassinée, vers 1824 - Huile sur toile, 104 x 86 cm © Musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

74-4-1

Achat dans le commerce de l’art en 1974

H. 104,5 cm - L. 85,8 cm

Jean-Victor Schnetz se rend à Rome en 1817 et y retrouve Léopold Robert qu’il a rencontré en 1812 dans l’atelier de David. Est-ce sous l’influence de son complice qu’il se laisse happer par le pittoresque folklore des brigands ?  Ou comme nombre d’artistes séjournant dans la ville éternelle, s’est-il inspiré des œuvres de Bartomeleo Pinelli, très diffusées, qui reproduisent costumes et coutumes de l’Italie ? À tout le moins, dans cette œuvre exposée au Salon de 1824, Schnetz reprend l’archétype de la scène de genre italienne qui plaît tant aux amateurs européens. Cette figure féminine, si paisible dans la mort, laisse planer le doute sur les raisons de son décès. On ne saura jamais si c’est un brigand ou un mari jaloux qui a frappé cette femme, pleurée par cette vieille aux traits de diseuse de bonne aventure et bientôt par son fils accourant à l’arrière-plan.

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