Écoles flamande et hollandaise

PORTRAIT DE FEMME

Ferdinand Bol (1616-1680)

1667

Agrandir l'image jpg 83Ko (Voir légende ci-après) (fenêtre modale)
Ferdinand Bol (1616-1680) Portrait de femme, huile sur toile, 130 x 108,5 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

873-1-155

Legs de Silguy, 1864

H. 130 cm - L. 108,5 cm

Elève de Rembrandt à Amsterdam vers 1635-1640, Ferdinand Bol débuta en copiant les tableaux de son célèbre maître et ami. Il devint un portraitiste de renom et le succès de sa production fut considérable. Avec le temps, son art devint plus pompeux et quelque peu statique. Ce portrait, dont le modèle est demeuré inconnu, est caractéristique de l'art du peintre dans la seconde partie de sa carrière : il multiplie les détails et accessoires et joue des effets des tissus précieux, mais l'exécution est figée et molle. Le portrait est habilement disposé dans un paysage dont les statues confortent la situation sociale de cette femme riche au long bracelet de perles enroulé aux poignets, motif que l'on retrouve dans le Portrait de femme (1643) du Metropolitan museum de New York.

Texte d'après Jacques Vilain

Catalogue "Tableaux flamands et hollandais du musée des Beaux-Arts de Quimper", 1987

Écoles flamande et hollandaise

PORTRAIT DE FEMME

Ferdinand Bol (1616-1680)

1667

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Ferdinand Bol (1616-1680) Portrait de femme, huile sur toile, 130 x 108,5 cm © musée des beaux-arts de Quimper

Huile sur toile

873-1-155

Legs de Silguy, 1864

H. 130 cm - L. 108,5 cm

Elève de Rembrandt à Amsterdam vers 1635-1640, Ferdinand Bol débuta en copiant les tableaux de son célèbre maître et ami. Il devint un portraitiste de renom et le succès de sa production fut considérable. Avec le temps, son art devint plus pompeux et quelque peu statique. Ce portrait, dont le modèle est demeuré inconnu, est caractéristique de l'art du peintre dans la seconde partie de sa carrière : il multiplie les détails et accessoires et joue des effets des tissus précieux, mais l'exécution est figée et molle. Le portrait est habilement disposé dans un paysage dont les statues confortent la situation sociale de cette femme riche au long bracelet de perles enroulé aux poignets, motif que l'on retrouve dans le Portrait de femme (1643) du Metropolitan museum de New York.

Texte d'après Jacques Vilain

Catalogue "Tableaux flamands et hollandais du musée des Beaux-Arts de Quimper", 1987

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